Bahaha !!!
Bon, plus sérieusement, je suis pas le maître du monde mais je suis meilleur que toi, qui me lis.
En fait, c'est même pas vrai, c'est le contraire. Mais dans toute chose il faut un contraire, pour satisfaire tout le monde.
Pourquoi écris-je ceci ? Tout simplement en réaction aux propos de Pompone. D'ailleurs, je ne parlerai pas de ses propos, histoire de ne pas perdre cette excellente habitude d'être hors sujet sur le seul message d'un sujet.
Donc pour poursuivre le hors sujet, j'aime bien les Lamas, même s'ils crachent. En fait, ils ne le font même pas méchamment. Ils le font car ils se sentent aggressés. Cracher sur les gens est une manière de se défendre. (Alors que cracher par terre est une manière de répandre la tuberculose, qui est d'ailleurs en net progrès depuis que les Weshwesh des cités ont déclaré le crachat à la mode, mais je n'ai pas pour but de lancer de polémiques là-dessus, donc je ne développerai pas).
Aussi bien que les Lamas, il y a les Bisounours, qui envoient des bisous dès qu'ils se sentent aggressés. Ceci dit, qui pourrait avoir envie d'aggresser un Bisounours ? La réponse est simple : Tous ceux qui ne peuvent accepter le fait que quelqu'un puisse vivre heureux et insouciant. Et puis, les Bisounours sont intéressants en ce sens qu'ils savent se transformer en Caliméros dès qu'un gros méchant vient les embêter. Et un Caliméro, c'est jamais content, donc c'est vraiment pas juste. Le Caliméro, comme les Bisounours, est irréprochable. C'est d'ailleurs ce qui lui est reproché. Mais il ne faut pas oublier les faux Caliméros, qui se croient à tort irréprochables. Et ceux-ci ne comprennent généralement pas qu'on leur en veuille. Même si personne ne leur en veut, ils se sentent m'envoulus. Ce sont des hypohondriaques du m'enveuillage.
Et les Ours polaires, dans tout ce tintouin ? Généralement, ils restent à l'écart de toute discussion, sur leur banquise. Mais sans vouloir rentrer dans les clichés, Pompone n'est pas un Ours polaire (D'ailleurs il n'en a pas l'air). Nous sommes donc en droit de nous demander si, oui ou non, le réchauffement climatique risque de l'affecter. Mais je reste confiant sur le fait que notre Pompone national est invariable, et c'est ainsi qu'on l'aime. Avec ses coups de sang, ses coups de tête, ses boudages, ses projets, ses réussites, son talent, ses ratés, et ses diatribes sur la division de la communauté (francophone) worms. D'ailleurs, tant qu'on parle de Vers de terre, c'est à dire de nos conteneurs finaux, moi j'espère que le ver qui me mangera ne tombera pas malade. Ce serait bête de tuer quelqu'un à la seule occasion à laquelle j'aurais pu me rendre utile.
Et Dieu dans tout ce monde ? Comme le reste, il attend. Et il regarde, amusé, les déblatérations de ses défenseurs. Comme s'il avait besoin de défenseurs...
Par exemple, moi (J'aime me prendre comme exemple, mais c'est une condition nécessaire pour être maître du monde, tu l'apprendras bien assez tôt, jeune lecteur), je n'ai besoin de personne pour ma défense. À vrai dire, je n'ai même pas besoin de défense. La bave du Crapaud n'atteint pas la blanche Colombe, mais à moins d'un miracle ou d'un entraînement digne des Légionnaires en Guyane, la fiente de la Colombe vise mal le pustuleux Crapaud que je suis. Au contraire, je m'estime même honoré qu'une colombe rentre dans mon jeu.
En conclusion : Je suis le Maître du Monde, et Pompone est mon Prophète.